La fin des gardes barrières à Pont de Claix

The end barriers guards Pont de Claix

A la SNCF ont n’a jamais reculé devant aucun paradoxe les gardes-barrière voyez vous sont classés dans le personnel « roulants », alors que ce personnel ne roulent jamais, vieil héritage d’un vocabulaire du passé.
Eh oui en ce début d’année 2001 il n’y a plus de gardes barrières à Pont de Claix à l’entrée de l’usine Rhône Poulenc au sud de Grenoble le passage à niveaux n° 8 a été automatisée la machine à détrôner l’être humain, il faut dire Georgette Lampasonna à occuper ce poste pendant 19 ans depuis 1981.
Il faut dire que le travail s’effectuer en trois huit de 4h30 à 22h avec ses collègues Bernard Vanoye « chef de canton » Marie Vanoye et Corinne Latreme, non se n’est pas une erreur ils sont quatre agents de circulation qui est la qualification administrative du garde barrière.
Et oui les dernières gardes barrières s’en vont je me souviens encore de celle qui travaillait un peu plus loin sur la ligne à l’entrée de l’usine Distugil maintenant Enichem, le matin quand j’allais travailler sur le site il fallait arriver avant la micheline sinon on attendait un bon moment devant la barrière, et puis un jour la guérite fut rasé et des barrières automatique furent posées.
Maintenant c’est le tour de Georgette de prendre sa préretraite après dix neuf ans de bon et loyaux service, il faut dire que Georgette est rentrée à la SNCF sur les recommandations d’une amie avant elle travaillait chez Becton Dickinson le fabricant de matériel médical , notamment de seringues un passage des aiguilles au aiguilles en quelques sorte.
Sur le trajet de Pont de Claix à Champ sur Drac il y avait pas moins de six barrières sur quelques kilomètres, il faut dire que l’ancienne barrière avec ces couleurs rouges et blanches défraîchies faisait partie du paysage, la ligne de Grenoble Veynes n’est pas a proprement parler une grande ligne avec quelques trains de marchandises et voyageurs par jour, mais elle dessert la gare de Jarrie qui rayonne sur les plate formes chimiques de Ato Fina sur la société de transport VFT.
En dix neuf ans de travail elles se sont relayes de 4h30 à 22h derrière la manivelle permettant de monter et descendre la barrière elle savait qu’elle n’avait pas le droit à l’erreur, mais en tout ce temps jamais un accident. il faut dire que l’administration veille envoyant régulièrement un chef pour contrôler des connaissances lecture des panneaux vérification de l’audition et de la vue.
Georgette dans sa guérite à un grand pouvoir elle peut arrêter un train avec sa torche d’alarme et son drapeau comme un commissaire de course si un incident survenait sur la ligne il faut dire que tout est contrôle par Grenoble une panne d’oreiller et ils s’en aperçoivent tout de suite et retardent le train la sécurité est à ce prix.
En ce début de millénaire un grand coup de chapeau à Georgette et ses collègues

A SNCF has never shrunk from any paradox barrier guards see you are listed in the  » rolling  » staff , so that staff never roll, old legacy of a vocabulary of the past.
Yes in the beginning of 2001 there are more barriers to Pont de Claix guards at the entrance of the Rhone Poulenc plant south of Grenoble on level crossing No. 8 was automated machine dethrone the human being, it must be said Georgette Lampasonna to hold this position for 19 years since 1981.
I must say that the work is carried out in three eight 4h30 to 22h with colleagues Bernard Vanoye  » roadmaster  » and Corinne Marie Vanoye Latreme not be is not a mistake they are four traffic officers which is the qualification the administrative gatekeeper .
And yes the last barriers guards go I still remember one that worked a little further down the line at the entrance to the factory now Enichem Distugil the morning when I went to work on the site had to happen before micheline otherwise a good time we waited at the gate , and then one day the gate was demolished and automatic barriers were raised.
Now it is the turn of Georgette to take his retirement after nineteen years of good and loyal service, it must be said that Georgette returned to SNCF on the recommendation of a friend before she worked at Becton Dickinson Medical Device Manufacturer including a syringe needle passage in so few hands .
On the way to Pont de Claix Champ sur Drac there were no less than six gates for a few kilometers , we must say that the old fence with the red and white colors worn part of the landscape , the line of Grenoble Veynes n ‘ is not strictly speaking a great line with some freight trains and passengers a day , but it serves the station Jarrie that radiates on flat chemical forms of Ato Fina on the shipping company VFT .
In nineteen years of work they took turns 4h30 to 22h behind the crank to raise and lower the barrier she knew she had no right to make mistakes , but in all that time never an accident. I must say that the Administration ensure regularly sending a chef to control knowledge reading panels verification of hearing and sight .
Georgette in his box at a great power can stop a train with his flashlight and alarm flag as a steward if an incident occurs on the line should say that everything is controlled by Grenoble a pillow down and they being aware of immediately and delay the train safety is at stake.
In this new millennium a great hat to Georgette and colleagues