Pourquoi on tape sur les roues des voitures et wagons

Why we slap on the wheels of carriages and wagons

En regardant de vieux film on peut voir des messieurs passant le long d’un train en tapant sur les roues.
C’est vrai avant des personnes frappaient sur les roues avec des tiges métalliques.
Au bruit, ils savaient si les essieux étaient dans un état correct ou pas.
Il faut dire qu’à l’époque les roues avaient des bandages rapporté elles étaient testées ainsi pour déterminer d’après le son si le bandage n’était pas fêlé (un peu comme la différence de son entre une cloche en bon état et une autre fêlée).
Mais aujourd’hui il n’existe plus des roues à bandage rapporté sur le matériel français actuellement en service.
Non, il n’existe plus de roue à bandage en France, c’est même prohibé
Certains anciens , disaient  » on cherche la roue en bois  » il est évident que si problème n’est pas détecté , cela peut faire très mal
Cela faisait partie des « petits métiers du ferroviaire » on les appelaient les Réveilleur de nuit:
« Payé à la fois par la SNCF et les municipalités cet employé est chargé de réveiller les passagers des trains nocturnes qui risqueraient, dans leur sommeil, de rater le spectacle des gares où le train s’arrête dans le courant de la nuit (bien entendu ceci est une blague)

Watching old film you can see gentlemen passing along a train by tapping the wheels.
This is true before people hit the wheels with metal rods.
Noise , they knew if the axles were in fair condition or not .
It must be said that at the time the wheels had bandages reported they were tested and to determine from the sound if the bandage was not cracked (a bit like the difference in sound between a bell in good condition and another cracked ) .
But today there are more wheels bandage attached to the French equipment currently in service.
No, there is more tired wheel in France , it is even prohibited
Some old, said  » we look for the wooden wheel  » it is obvious that if the problem is not detected , it can be very painful
It was part of the  » small trades rail  » they called the Currawong night :
« Paid by both the railway and municipal employee is responsible for waking passengers night trains which might , in their sleep, to miss the spectacle of the stations where the train stops in the course of the night (of course this is a joke )